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Les aventuriers

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Caladbolg
darkman
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Message par darkman Jeu 20 Juil - 1:42

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Message par Caladbolg Mar 22 Aoû - 0:47

Spoiler:

Ceci est un extrait d'un entretien que le conseiller Obsidien Isam Deer eut avec le célèbre héro elfe Tarislar, alors qu'il n'était qu'un Guerrier du premier Cercle. Cet entretien eut pour but de le faire participer à la mission qui marqua l'aurore de l'épopée légendaire connue sous le nom de "La course de l'Aube". J'espère que cette retranscription apportera quelques lumières sur la personnalité de l'un des héros les plus discrets de son groupe.

"Pourquoi serais-je un atout au groupe d'aventurier engagé par votre Roi ? Je suppose que votre question est à la fois honnête et présente pour me tester, Sir."

"Tout comme vous, je suis la Voie des Guerriers bien que je sois un novice comparé au Cercle que vous devez avoir atteint, si on garde les exploits qui vous sont attribué en tête. Je ne vous ferais pas l'affront de vous expliquer en quoi consiste notre discipline mais je vais tenter de vous faire part de mon interprétation de façon brève. Je ne suis ni sorcier, ni élémentaliste. Mais avant cela, vous devez comprendre mon histoire."

"Comme vous devez le savoir si vous cherchez mes services, je suis l'un des rares rescapés de Kaer Tesrae ke'Tarislar [Citadelle du Souvenir en Sperethiel.], qui était caché au Sud Ouest du Bois de Wyrm, non loin du Delta de la rivière Mothingale."

A l'évocation du Kaer où il grandit, son expression fut prise de mélancolie mais son ton resta aussi dur et égale qu'auparavant malgré l'évocation de souvenirs difficiles.

"Tesrae ke'Tarislar, comme vous vous en doutez, était habité par une majorité d'elfe et la mission que c'était imposé ses fondateurs fut de sauvegarder la culture elfique. Ce fut très certainement car la ville par laquelle ce Kaer fut construit était apparemment connu pour ses érudits et philosophes. Ironiquement, le nom de la ville fut perdu."

"Si proche du Coeur Elfique, Tesrae ke'Tarislar obéit aux ordres de sa Reine orgueilleuse mais ses élémentalistes et nécromancien, dans leur sagesse, savait que le plan imposé par la Reine était faillible. La légende qu'on racontait aux enfants étaient qu'un groupe de héros partit en quête d'un Grand Dragon afin d'obtenir de lui et de sa puissante magie protection faces aux Horreurs pour notre Kaer. Je ne saurais dire si la légende est vrai mais le fait est que notre Kaer resta debout."

"Comme je l'ais expliqué plus tôt, Tesrae ke'Tarislar fut créer pour sauvegarder notre culture. Très tôt, on m'inculqua les valeurs du Draesis ti'Morel [La Roue de la Vie, un motif particulièrement important dans les croyances elfiques. qui me guide encore aujourd'hui. Je dois avouer qu'à mon enfance, j'étais plus intéressé par l'étude du Carromeleg et les faits d'armes que par choses d'ordres académiques ou spirituel, quelque chose que je regrette maintenant que je sais tout ce qui a été perdu. Peut-être était-ce ma nature de Guerrier ou mes premiers pas sur Mes ti'Maeaerthsa qui parlaient."

"Si Tesrae ke'Tarislar est si peu connu aujourd'hui c'est pour une simple raison : son ouverture fut relativement récente comparé aux autres éparpillé aux 4 coins de Barsaive. Le conseil dirigeant du Kaer décida d'attendre au lieu d'ouvrir directement ses portes quand le niveau de magie se stabilisa. A cause de cette décision, beaucoup pensèrent le Kaer détruit par les Horreurs et finirent par l'oublier. Je suppose que la prudence fut le mauvais à cause de ce qu'elle engendra."

"A cause de notre isolation, nous n'avions aucune information sur le monde extérieur mais cela eu peut d'importances car les premières personnes à remarquer l'ouverture de notre Kaer fut une patrouille du Bois de Wyrm. Je suppose que nous avons eu de la chance que nous n'avons pas été la cible de leur attaque. Je ne connais pas tout les détails, mais je sais que malgré le sinistre spectacle qui nous était offert, nos leader ont décidé de prêter à nouveau Serment envers la Reine Alachia pour que nous ayons l'honneur d'accomplir nos rituels dans le coeur de la Culture Elfique. J'étais l'un des quelques enfants à avoir l'occasion d'accomplir mon Rituel de Passage."

"Bien sûr, beaucoup de personnes du Kaer n'était pas d'accord avec la décision de nos chefs. Nous souhaitions profiter du Rituel de Passage pour retrouver secrètement nos familles et fuir le Bois. Je vous passerais les détails mais le plan était stupide : le genre de chose que seule les enfants idéalistes peuvent imaginer."

L'expression de Tarislar se fit beaucoup plus dur et il fut évident qu'il était difficile pour lui de continuer son histoire.

"Avec chance et peut-être à cause de la capture des autres sots, le groupe que je dirigeais put récupérer nos familles sans trop de difficultés. Nos problèmes commencèrent à la sortie des bois quand une petite patrouille nous rattrapa. Je ne décrirais pas la bataille mais je vais enfin me mettre à expliquer pourquoi je suis un Guerrier."

"Êtes vous familier avec le Carromeleg ? C'est un art martial elfique divisé en 5 écoles différentes, chacune d'entre elle basé sur un élément. Le Carromeleg a un concept très important dans l'explication que je vais vous donner : Le Zathien. Un état qu'un pratiquant atteint quand il réalise que sa mort est imminente et qu'il accepte son funeste destin."

"J'ai atteint cet état dans mon combat et dans le même temps, mon initiation à notre Discipline."

"Si une chose unit chaque guerrier, c'est leur lien avec les éléments. Comme les élémentalistes, nous manions les 5 éléments et je penses que c'est une chose qui se reflète dans notre Discipline. En nous brûle un Feu Intérieur qui menace de détruire tout ce qui nous entourent. Trouver la volonté de combattre est comme ouvrir une cheminé dans son âme. C'est brûlant, rapide et peu détruire tout ce qui se trouve autours de toi avant même que tu puisses réfléchir. C'est à la fois une rage incommensurable, nos passions et notre volonté de survivre."

"Les autres éléments, eux aussi ont leur importance. L'Air éclaircit nos esprits et nous fait réagir rapidement. Le Bois nous fait grandir pour nous permettre d'atteindre de nouveaux sommets de gloire et de compréhension. L'Eau est comme le calme avant la tempête et pourtant reste un torrent bougeant dans toutes les directions."

"Ma façon de voir les choses est simple. Les éléments couvrent les 4 directions ainsi que le centre. Un vrai guerrier est capable de défendre ses 4 directions, comprends les deux camps d'un conflit, voit tout ses ennemis et connait le chemin le plus rapide vers la victoire. Un guerrier peut frapper dans les 4 directions, avec n'importes qu'elle arme, n'importe quand. Nous somme toujours prêt. Je suis toujours prêt."

"Maintenant c'est à vous de juger. Si vous voulez quelqu'un qui a pris goût au sang et qui ne comprends pas ses actions ou ses raisons de le faire, prenez à la place un maître épéiste ou un écumeur du ciel."
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Message par RipGeekLost Mar 22 Aoû - 18:14

Aisling Ma'jhara:

Extrait du journal d’Aisling Ma’jhara


Aujourd’hui j’ai 14, je suis officiellement une femme selon les humains. Ce que je suis. Mais j’aurais pu être une elfe. Laissez-moi conter l’histoire de ma jeune vie. Il y a des années de cela, avant ma naissance, un trio d’aventurier s’arrêta dans une communauté.

Ce trio d’aventurier se composait en premier lieu d’un Maître d’Arme Tskrang, Kaalyn S’triivma Valesnor. Mon Chaida, Parrain, Témoin, ou tout autre terme qui vous décrirez le lien entre un enfant et la personne en qui les parents placent leur confiance pour s’occuper de lui si il venait à arriver une tragédie.

Ensuite, un Illusionniste humaine, Salvia. Ma mère. Elle descendait du peuple Scavien, aussi portait-elle toujours une multitude de bijoux et gardait-elle ses longs cheveux dans un foulard. Pour ceux qui connaissent les relations tumultueuse entre Tskrang et Scavien, ne vous en faite pas. Je ne sais toujours pas comment ils ont fait pour s’entendre moi-même.

Et il y avait mon père. Lorkhan Ma’jhara. Comme vous vous doutez à son prénom, il s’agit d’un elfe. Mon père était souvent plongé dans ses recherches sur les différents plans de ce monde et sur comment bannir les horreurs. Je n’ai pas honte ni peur de dire qu’il s’agit d’un nécromancien. Il reste mon père et il est celui qui m’a appris à ne pas me laissé submerger par la peur, comme ma mère m’a appris à démêler le vraie du faux dans la réalité, et comme mon Chaida m’a appris… Des choses… En quelque sorte.

Je fus éduqué dans un environnement de savoir, connaissance, magie, trompe-l’œil et cordage. Pourquoi cordage ? Mon Chaida. Ma mère m’éveilla très tôt aux vérités de ce monde, à me faire voir au-delà de mes sens et à remettre en question ce que je pensais voir. Pour elle, il s’agissait simplement de veiller à ce que sa fille ne se fasse pas berner par les illusions de ce monde. Pour moi, c’était notre petit jeu à toutes les deux, savoir ce qu’elle avait mit comme épice dans le souper, où se trouvait réellement la pièce et connaître le vrai nom de la tête de cette couleur illusoire. Je peux affirmer qu’aucune de nous deux ne s’attendait vraiment à ce que je devienne son apprentie à un jeune âge.

Mon père m’enseigna ce que je sais des potions et de l’histoire elfique. De la culture, du langage, de la philosophie des chemins. Bien qu’il était froid et distant, je savais qu’il m’aimait réellement. Il veillait juste à ce que je ne sois pas trop près de ses livres sur les horreurs, de ses documents, ses recherches et d’autres choses en liens avec elles et le châtiment. Je ne dirais pas qu’il avait peur pour moi, la ressentir est un tabou chez les gens comme lui. Je dirais plus qu’il… Veillait à ce que ma voie ne soit pas la sienne. Même si il m’apprit à contrôler mes émotions, je l’en remercie pour ça. Sans lui, je ne saurais pas que la peur n’est finalement qu’une émotion futile car nous avons tous la même fin. La mort.

Mon Chaida, lui, n’est pas du genre studieux. Il est du genre flamboyant, il a besoin d’être le centre de l’attention. Mais par-dessus tout, il a besoin que les autres comprennent la beauté du risque. Il me l’apprit très jeune. Alors que je n’étais vraiment qu’une toute petite fille, il me fit grimper dans les arbres, balancer de cordes en corde et sauter de branche en branche. Son but était que je trouve la hardiesse et la passion de braver le danger. Et également de faire venir des cheveux blancs précocement à ma mère, je n’en doute plus à l’heure actuel. Dans son cœur, mon Chaida voulait me voir sur les routes, me voyait déjà dessus et désirait que je sois prête. Il m’apprit également à utiliser un arc, se servant des foulards de ma mère comme cible. J’assure qu’à l’époque j’étais convaincu qu’il avait son autorisation.

Je menais une enfance paisible, tranquille. J’avais 10 ans quand tout bascula. Mon père avait fait l’acquisition d’un objet étrange et commença à l’étudier nuit et jour. Lui qui était distant, nous ne le vires même plus pour les repas… Dans un sens, ça ne nous étonnait guère. Il était toujours d’une extrême prudence sur ses recherches, afin que les horreurs ne nous entache jamais. Nous aurions-dû voir les signes. Ses broderies qu’ils ne montraient plus, les cauchemars de plus en plus courant, les petits rires ou les larmes qui coulaient sans qu’il n’y ait de raison. Je suppose que le bonheur et notre envie qu’il dur ne nous a pas permis de le voir. Une honte pour des Illusionniste, n’est-ce pas ?

Ce qui commença à m’inquiétait, ce fut quand il me demanda de l’aide dans son laboratoire. Dans ses recherches. Lui qui ne voulait jamais avant. Je me disais que ce serait une occasion d’être plus proche de lui, de pouvoir outrepasser la nouvelle distance qui n’avait pas sa place. Aujourd’hui, je me dis qu’il avait fait exprès. Il voulait qu’on voit remarque la marque, qu’on remarque qu’il y avait quelque chose. Qu’on cesse un instant de se concentrer sur notre bonheur et que l’on voit la vérité, comme les Illusionnistes que nous étions sensé êtres… Mon père a toujours été un homme intelligent, cela ne m’étonnerait qu’il ait désirait faire ça pour tromper l’horreur. Je l’espère de tout cœur.

Tout escalada très vite quand ma mère apprit qu’il avait demandé mon aide pour ses recherches. Elle préférait que je sois aussi éloignée de ces choses que possible. Que les horreurs ne viennent pas hanter mon esprit quand elles ne sont pas là. Et qu’elles n’aient jamais l’occasion de le faire. C’était un soir de pluie. Ils se disputaient en bas, j’écoutais en cachette sur les marches de l’escalier. Je dois avouer ne pas me souvenir de grand-chose des paroles en elle-même. Je savais juste qu’ils se disputaient à cause des recherches et que la dispute avait escaladé. Je ne souviens que d’une chose parfaite.

« Peut-être que si tu avais été une meilleur illusionniste tu aurais remarqué que je suis marqué bien plus tôt. »

J’aurais peut-être pu faire quelque chose avant que ma mère ne meurt. J’avais préféré courir le plus vite possible en haut pendant que mon père tuait brutalement ma mère, barbouillant les murs d’une horrible couleur rouge. Je préférais voir les mur se faire barbouiller plutôt que de voir ce qu’il avait utilisé pour… Bref, je suis remontée aussi vite que possible. Passer par la porte d’entré n’était pas une bonne idée, il m’aurait très vite rattrapée. Ma meilleur chance aurait été par le toit, par lui j’aurais pu essayer d’atteindre l’habitation de mon Chaida et être en sécurité. Je dois avouer que j’avais oublié la pluie. Ca aurait pu me coûter la vie avec une chute.

Mon père ne me poursuivit pas par les toit. Il était passé par en bas rapidement, attendant juste que je trébuche. Non, ce n’était pas mon père, c’était l’Horreur qui avait prit possession de son corps. Ca va vous paraître stupide, mais dans mon esprit, je me disais que si il voyait que j’avais peur, il monterait, ou utiliserait de sa magie, ou je ne sais quoi… Je me disais qu’ils en profiterait jusqu’à la moelle. Alors, j’ai pensé à donner un nom à l’Horreur. Plutôt un surnom. Le genre de chose qui permet de se faire une idée de ce qu’est quelque chose. Ou qui donne l’impression qu’on la connaît. Si on la nomme, on la connaît, même si le fait d’être incapable de voir au-delà visage distordue par un rictus de mon père était ce qui me terrifiait le plus.

Alors, pour ne plus avoir peur, du moins tenter, j’avais donné un nom dans ma tête à l’Horreur. Vous risquez de rire, mais sur le coup j’avais pensé à la première chose en tête. Monsieur Lapinou. Ce n’était pas le nom qu’on donnerait à une Horreur. Mais c’était ce qui m’était venu en tête. Et le fait d’avoir eu la tête préoccupée par le fait que j’avais trouvé un nom si idiot à une chose si immonde m’avait permis d’oublier le temps qu’il fallait qu’en bas m’attendait la chose, sous le couvert de mon père. La fenêtre de mon Chaida était fermée, et je sentais quelque chose dans l’air. Je craignais que tout ce temps à me faire paniquer, Monsieur Lapinou l’avait passé à tisser dans la trame. Je ne cherchais pas à vérifier mes soupçons. J’utilisais mes petites jambes pour briser les carreaux, réveillant de ce fait mon Chaida.

Il eu juste le temps de comprendre ce qu’il se produisait que je fonçais me cacher derrière lui, en larme et tremblante. L’Horreur rentra, sous le couvert de mon père. Mon Chaida avait juste à m’entendre hurler « HORREUR » pour se mettre entre mon père l’Horreur et moi. Mon Chaida était un maître d’arme d’un grand talent, mais l’horreur était sous le couvert de son ami. Lui disant et murmurant des choses, des secrets et des souvenirs que je ne connaissais pas, des vérités profondes sur leur amitié… L’esprit flanche en même temps que le corps. Je me saisi d’une des premières armes que je pouvais trouver dans la maison.

Je préfère me dire que j’avais poignardé l’Horreur. Pas mon père mais l’horreur. Quand il se rendit compte de ce que j’avais fait, dans son dos, et se retourna, je savais qu’il s’agissait de mon père et de personne d’autre.

« Tu as bien fait ma fille... »

Quand le corps de mon père s’effondra au sol, je me précipitais vers mon Chaida. Je dû l’aider, du haut de mes 10 ans, à rejoindre la demeure du guérisseur. Depuis, mon Chaida et moi sommes sur les routes. Je garde toujours précieusement sur moi la dague qui a poignardée mon père. Et nous devons le faire… Quand nous sommes retourner dans la demeure de mon Chaida pour brûler le corps de mon père… Il avait disparu, sans une trace.

Et j’ai peur depuis.
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Message par Kadus Sam 2 Sep - 4:07

Fignus le Sorcier:

Royaume de Throal, 1506th

Depuis ma plus tendre enfance, j’ai rêvé de ce jour où enfin, je pourrais quitter Throal afin de partir à l’aventure. Ce jour où les contrées de Barsaive s’ouvriraient à moi. Voici donc les premiers mots que je pose dans ce journal qui me suivra le long de mes futures pérégrinations. J’espère que ces dernières seront riches en enseignement pour les prochaines générations, et qu’elles puissent leur apporter un message plein d’espoir pour l’avenir. Je m’appelle Fignus. Mais avant de conter mes futures épopées, il serait de bon aloi que je commence par raconter mon passé. Mais avant d’aborder ma jeunesse, je dois d’abord parler de mon père.

-----------------------------

Mon père Glorin, était un adepte guerrier très connu à Throal, il travaillait pour l’illustre maison Neumanie et ses aventures lui octroyèrent le titre de b’jados, au sens héroïque du terme. Au cours de l’un de ses voyages, il rencontra une naine troubadour qui intégra par la suite son groupe d’aventuriers. Quelques années plus tard, c’était en mari et femme qu’ils rentrèrent au royaume des nains. Je naquis à la fin de cette année-là, il y a de cela 25 ans.  Comme toute famille naine, on attendit le premier mois afin de me baptiser Fignus, fils d’Ulfinna et de Glorin. Ce dernier avait désormais une famille, mais contrairement à sa femme, il continua de voyager avec son groupe au service des Neumanie, au point même qu’on lui fit l’honneur de lui remettre une épée des plus ouvragées nommée : « Impétueuse ». Quant à ma mère, elle obtint une licence lui permettant d’ouvrir une auberge dans le Bazar et je dois dire que ce fut dans cette auberge que j’ai passé les meilleurs moments de ma jeunesse.

Mes premières années, je passais la majorité de mon temps le jour à observer ma mère qui cuisinait des mets exotiques qu’elle aurait appris au cours de ses voyages. Les clients étaient en ne peut plus content de découvrir de nouvelles saveurs. Quant aux soirées, elle me racontait tant d’histoires sur ses anciennes aventures, ainsi que les récits d’autres adeptes. Elle avait l’art de raconter les histoires au point même que je sentais comme transporté en dehors de Throal pour assister à ces épopées qu’elle me contait avec ferveur. Je commençai à rêver quitter un jour la montagne pour vivre mes propres aventures. Plus je grandissais, plus il était important pour moi d’aider ma mère en cuisine. Commençant d’abord par des petites tâches comme la plonge, la prise de commandes, avant de vraiment commencer à cuisiner avec elle. C’est peut-être de là que je tiens mon penchant pour les bonnes choses. Quant à mon père, hélas je ne le voyais presque jamais. Il était la plupart du temps en voyage à vivre je ne sais quelles aventures, et quand il rentrait, il ne restait que très peu de temps avant de repartir. Je profitais de ses pauses pour rester le plus de temps à ses côtés, à lui raconter ma vie de tous les jours, bien monotone comparée à ses récits de voyage. Il espérait que je devienne un jour un adepte comme lui, et même cette idée me réjouissait. Je dois avouer qu’il m’arrivait de détester cette manie qu’avait mon père de toujours abandonner sa famille. À part les histoires qu’il me racontait, je ne connaissais rien de mon père, c’était presque un étranger pour moi.

Quelques années plus tard. Mon père semblait différent. Presque méconnaissable. En plus de de son travail, son caractère avait changé. Le peu de temps qu’il passait à Throal ne lui servait qu’à préparer son prochain voyage, c’était devenu un étranger et je n’étais pas le seul à le remarquer. D’après certains, cela pouvait arriver à un certain âge, d’autres pensaient que c’était dû aux voyages répétés. La dernière fois que je l’ai vu, ce fut à la célébration de mes dix ans. Il me remit en cadeau « Impétueuse » sans un mot et le lendemain, il n’était plus là. Quelques mois plus tard, une terrible nouvelle nous parvint. Glorin avait abattu ses compagnons dans un excès de folie avant de disparaître dans un terrible crie d’agonie. Les témoins de cette tragique scène ont confirmé que le nain était contrôlé par une horreur. Le journal qu’il tenait toujours à ses côtés n’a pas été retrouvé. Comme tout donneur de nom, je connaissais l’existence des horreurs qui ont poussé tous les peuples de Barsaive et d’au-delà à se cacher dans des Kaer ou des citadelles pendant quatre siècles. Je savais aussi qu’elles étaient toujours présentes et qu’elles représentaient un grand danger. Mais ce ne fut qu’à cette instant que je compris que cette menace pouvait prendre une forme aussi insidieuse. Cette tragédie eut des conséquences imprévisibles à mes yeux. Le nom de Glorin était honni, certaines personnes s’adonnaient au wech’nes en osant affirmer que mon père était le serviteur d’une horreur. Notre famille était déshonorée par cet incident et l’on réfléchissait désormais à quitter Throal au moins pour Grand Foire. Finalement, ma mère qui avait du caractère malgré le déshonneur qu’on nous faisait vivre décida de rester au capital du royaume nain. Dans un sens, ce fut une bonne décision, car sans ça je n’aurais peut-être pas pu rencontrer celui qui allait devenir mon mentor.

Les années passèrent et les mauvaises rumeurs commençait à s’estamper, malgré tout, la clientèle de la Hutte de Mouette Rieuse avait diminué, mais nous pouvions toujours compter sur les fidèles et les voyageurs ne connaissant pas la réputation de la famille. En ce qui me concerne, j’avais réussi à vivre avec ce qui s’était passé, même si j’éprouvais de plus en plus un besoin impérieux de connaître la vérité sur mon père. Un jour, un adepte T’skrang entra dans notre établissement et se posa au bar. En m’adressant à lui afin de recueillir sa commande, d’un geste souple il me tendit un parchemin où l’on pouvait lire une recette. À peine eussé-je le temps de lire qu’il replia aussitôt son parchemin, me demandant de lui réciter les ingrédients de la recette. Ce que je fus, tout en étant étonné par l’attitude de cet homme. Ce ne fut que plus que je compris qu’il s’agissait d’un test et que l’homme à la peau écailleuse du nom de K’stano était un sorcier de l’esprit, venu à Throal afin de s’abreuver de la connaissance contenue à la Grande Bibliothèque.


J’avoue qu’au début de ma formation à la discipline de sorcier, je pensais que j’allais commençais avec l’apprentissage de sortilèges. Mais K’stano a commencé mon enseignement par l’apprentissage de la broderie, premier exercice, broder une robe de sorcier. Apprendre un art est très important, et la broderie était une bonne initiation à tissage des filaments de magie. Je ne comprenais pas tout à l’époque, mais je ne rechignais pas à exécuter les tâches que m’ordonnait le T’skrang. Ce dernier se petit à petit à m’initier à la symbolique des idées, et me donnait un certain nombre de livres à lire afin de m’inculquer les notions de plan astral, de trames et d’architrames. Il ne délaissa pas mon enseignement martial, après tout il disait souvent que le magicien peu importe sa discipline qui ne comptait que sur la magie avait une courte durée de vie. Mais en plus d’apprendre les rudiments de ma discipline, j’apprenais beaucoup sur mon maître et sur son peuple. K’stano était quelqu’un de très loquace, et il me parlait souvent de concepts T’skrang comme l’Haropas. J’avoue que cela reste encore aujourd’hui nébuleux à mes yeux, mais je me rappelle encore du nombre de fois dont il me parlait de Jik’harra afin de m’exhorter à avoir du courage. Durant ces dernières années, les livres avaient pris une telle importance à mes yeux que c’en était étonnant. Mon mentor me parlait de la Grande Bibliothèque de Théra qui contenait un immense savoir et j’avoue que je souhaitais et souhaite toujours autant aujourd’hui visait ce lieu de sagesse, quand on l’histoire, on se demande comment de telles sages on put donner naissance à un empire aussi belliqueux et irrespectueux de la liberté de tout individu. Ma passion pour la cuisine ne s’est guère estampé avec le temps quand je pense à toutes ces discussions avec maître K’stano autour de leurs épices. Je me souviendrais toujours avec reconnaissance de l’enseignement que ma prodigué mon maître.

-----------------------------

Récemment, d’étranges disparitions ont été signalées au sud-ouest de Barsaive. Et avec les récents troubles entre Théra et Throal, je fais partie du groupe constitué sous les ordres de sa majesté le roi Varulus III avec pour mission de découvrir ce qui se cache derrière ces disparitions. Je dois avouer j’éprouve une certaine crainte face à ce que je pourrais découvrir. J’espère que saurais faire appel au Jik’harra ainsi qu’à Impétueuse s’il le faut. Je dois aussi quitter Throal afin d’apprendre la vérité sur mon père et laver son nom. Il ne serait jamais devenu un serviteur des horreurs, je refuse de le croire. Mais pour cela, je dois retrouver son journal en espérant qu’il n’a pas été détruit.  Que Minbruje m’aide au cours de ce voyage.
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Message par Narro Lun 11 Sep - 18:31

Salut tout le monde je vous rejoins bon il me faut donc faire un perso est ecrire un roman sur sa vie si j'ai bien compris
 
Belwen Forgeron Elfe:

Je suis né en 1480 au sein du kaer Altred j’y ai passé les 10 premières année de ma vie avec ma famille.
Ma famille se composait de mon père Elendil , ma mère Alassëa , ma soeur aînée Nandra ainsi que moi même Belwen.
Durant ces quelques années mon père a tenu à m’enseigner tout ce qu’il avait à savoir sur le Bois du Wyrm ainsi que la cour elfique . Il me racontait toute la journée la beauté de ce bois et l’importance que représente la cour elfique. Il me disait qu’un jour prochain nous la rejoindrons. Mais l’histoire dont mon père était le plus fier est celle de mon arrière arrière arrière arrière grand père qui siégeait à la cour elfique comme conseiller de la reine et à chaque fois qu’il en parlait il avait le regard emplit de tristesse . Ma mère nous enseigna à ma soeur et a moi l’art de l’inscription runique . Ma soeur et mois jouions souvent dans les rues du kaer ce qui m'a aidé à développer un sens de l’orientation assez aiguisé. C’était les meilleures années de ma vie à ce jour

En 1485 Altred ouvrit ces portes dans le but d’envoyer des mission d’exploration afin de savoir si la surface étaient sans danger. Mon père voulut rejoindre l’une de ces équipes d’explorations mais ma mère le convaincue de rester et d’attendre le retour de ces dites équipes et qu’une fois qu’elles seraient revenus nous sortirons du kaer tous ensemble tout en lui rappelant que j'étais bien trop jeune pour entreprendre une telle expédition.

En 1489 Altred ouvre officiellement ses portes. Nous nous sommes alors préparés à quitter Altred. Apres quelques semaine  de préparation nous prirent la route avec d’autres famille elfe afin de rejoindre le Bois du Wyrm . Je crois n’avoir jamais vu mon père aussi heureux que ce jour là.

8 mois plus tard nous arrivons à l’endroit où se trouvait le Bois du Wyrm , mais cela ne correspondait en rien à la description que l’on m’avait fait. Sur le chemin en plus de mon pére plusieurs autre elfe me racontèrent la splendeur du bois du Wyrm  ainsi que la noblesse et le respect que la vu des membres de la cour inspirée au autres membres de notre race . Avec Nandra on imaginait souvent ce qu'on allait trouver une fois sur place et  deux cas de figures sortaient du lot le premier étant que le bois du Wyrm se tiennent fièrement intacte au milieu de terres ravagées ou alors dans le cas ou le pire aurait survenu qu’il est était détruit ainsi que la cour elfique. Mais jamais nous ne nous serions attendu à voir le (bois corrompu) bois du sang et encore moins au elfes de sang. Nos parents ainsi que les autres adultes n’avaient pas l’air aussi surpris que nous il avaient dû entendre des rumeurs sur la route maintenant que j’y repense sur tout les elfes que nous avions croisait aucun ne nous as rejoins pour le voyage au bois du wyrm .

Une fois l’effet de surprise passé  un groupe d’adultes ,dont mon père, on décidé de s’approcher afin de voir de plus prés et d’aller discuter avec les elfes de sang , pour que l’on puisse entrer sans avoir à rester en alerte . Pendant ce temps ma soeur et moi avons discuté afin de savoir si nous voulions vivre ici . Nous nous sommes mis daccord sur le fait que non cet endroit nous faisait peur ainsi que ses habitants les elfes de sang leur regard était à la fois vide comme si leur âmes avait étaient brisés mais aussi emplis de douleur est de souffrance . Et nous avions vu dans durant ces 8 mois que les gens qui vivent dans la souffrance on du mal à garder l’esprit sain. Ma mère avaient l’air d’hésiter d’un côté elle ne voulait pas nous élever dans un endroit comme celui ci où presque tous les habitant son soumis à une torture continuelle et d’un autre côté elle qui souhaitait retrouver ses racines ainsi que son mari qui semblait si heureux d’avoir enfin atteint le coeur de la culture elfe.

Le groupe d’adultes revint assez vite et ils nous expliquent qu’il nous faut juré allégeance à la reine si nous voulons vivre ici. Le groupe se scinda en deux ce qui voulait restait et les autres bien entendu mon père pris parti afin que l’on reste ma mère hésita un instant avant de le suivre.

Mes parents jurèrent allégeance à la Reine mais moi, ma soeur et les autres enfants furent exempté étant considéré trop jeune.

La vie dans le Bois du Sang n’avait rien n’a voir avec à Altred ou bien sur les routes nous restions cloitré à la maison ma soeur ma mère et moi mon père quant à lui il passait ses journées à la cour elfique. Nandra et moi nous nous amusions à faire des inscriptions runique dans des endroits caché de notre “maison”. ma mère s’occupait de nous apprendre ce qu'elle considérait nécessaire à notre éducation tel que la médecine ou bien le peu de throalique qu'elle connaissait.

Ainsi six mois passèrent , ma mère nous annonça que nous allions partir d’ici que mon père ne voudrait jamais quitter cet endroit mais que ce n'était pas un endroit où élever des enfants . Ils fallaient nous préparaient dans une semaine nous allions enfin quitter cet endroit. Le jour J était enfin arrivé, lors de notre “fuite” nous nous fîmes arrêter par mon père accompagnées de 5 elfes de sang nous disons que notre place étaient ici , et qui ne nous laisseraient pas nous en aller aussi facilement . Je ne reconnaissait plus mon père ma mère nous fit signe de nous enfuir elle resta derrière pour les retenir . Nous lui avons dit que nous ne partirons pas sans elle . Elle hurla “allez vous-en” c'était la première fois que notre mère nous criait dessus . Sur ces mots nous sommes parti à toute allure poursuivie par mon père ainsi que 2 elfes de sang. Nous nous sommes séparaient sur conseil de ma soeur, seul un elfe de sang continua de me poursuivre je courrais tout droit sans me retourner.
Je ne sais pas exactement comment c’est arrivé mais je me suis retrouvé derrière un obsidien de plus de 2m40 et en face l’elfe de sang en piteux état qui fuyait.

L'obsidien se présenta Voltor adeptes forgeron du 8éme Cercle de 600 ans il avait une lame de 1m20 dans le dos , j'appris plus tard qu'il s'agissait de sa lamesoeur qui était presque finalisé. Il me demanda la raison pour laquelle  me poursuivait . Je lui ai expliqué la situation et lui ai demandé si il n'avait pas vu une jeune elfe poursuivie par des elfe de sang , il me rétorqua que non mais que cela ne nous empêcher pas de chercher. Au bout de quelque dizaine de minute de recherche on aperçu le groupe qui poursuivait ma sœur rentrer bredouille. Malgré nos efforts aucun signe de Nandra. Voltor me proposa de le rejoindre en annonçant le fait qu'il était un forgeron nomade et que j'avais plus de chance de retrouver ma sœur en voyant du pays.

C'est ainsi que j'ai grandi pendant 15 ans au côté de Voltor comme un disciple, un fils adoptif. Il m'enseigna les rites et coutumes des obsidiens , l'histoire des armes, les différents métaux,l'art de la forge ainsi que le maniement des armes. Il y'a un mois il parti et me laissa une note disant qu'il devait accomplir le rituel de sang afin de finaliser sa lamesoeur et qu'il fallait que je continue à chercher Nandra de mon côté et que pour cela il faudrait que je trouve d'autres adeptes sur qui compter . Il nota aussi qu'il aller continuer de son côté a chercher Nandra et que si il découvrait une info les forges me feront passer le message.
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Message par Lyssiar Mar 12 Déc - 23:46

« Narshe krem torisskam Kraaaaaarg… » Tel sont les dernier parole de Kromriche Poing-de-pierre, rival en affaire de maitre Yerilian Firoll, je le sais car j’étais là quand la dague a fait taire cet insolent. Si je vous cite cela c’est car ces paroles sont comme ma vie, une suite d’éléments incompréhensibles qui ont une fin relativement tragique. Mais avant de parler de la fin, parlons du début.

Spoiler:

Je m’appelle Angélis, enfin c’est le nom que je porte depuis mon arriver au service du maitre, mon vrai nom ne m'a jamais était donné. Je suis une jeune Sylphélinne de 403 cycles, bien que l’on ne m’en donne je l’avoue pas plus de 139. Quand j’étais petite, durant le dernier jour de mon banquet de baptême, des grande jambes sont venue dans mon village et ont pris tout les enfants, dans la cage des grande jambes nous étions bien des centaines. Je me souviendrais toujours du regard de leur chef ! Une grande jambe de petite taille à la longue barbes et avec un œil mort. Le voyage vers le grand marché fut parsèment de peleurs, de peur et aussi de douleur car les grandes jambes ne prenait pas grand soin de notre cage. Je me souviens avoir beaucoup pleurée, mais il faut dire qu’à l’époque j’avais tout juste apprit à volée. Le grand marché était un endroit lugubre, on y vendait de tout et de rien et surtout des vies, plus tard en suivant maitre Firoll dans le grand marché je découvris que c’était la meilleur solution pour parler de cet endroit, on y achète des esclaves, paye des gens pour tuer d’autres gens et on paye aussi pour ne pas être tuer par d’autres gens. En tout cas moi et quelque autres sylphélinne, nous ne sommes pas resté longtemps dans cette endroit, pas comme rosette qui lors de ma dernier visite était toujours avec œil-mort. En effet, une journée après notre arrivé il est arrivé, grand, beau et mélancolique, maitre Yerilian Firoll, un marchand elfe. Notre voyage à moi et mes neuf compagnonnes d’infortune fut plus calme et agréable depuis le grand marché à Vivane, où le maitre a sa maison. Quand nous sommes arrivée, le maitre nous donna à chacune un nouveaux nom, moi ce fut Angélis, les autres c’était Noa, Ondine, Rosetta, Iridessa, Vidia, Lyra, Nyx, Zarina  et Clochette.

J’ai vécue toute ma vie depuis chez le maitre, il était bon et gentil avec nous, mon travail avec Rose, Noa, Ondine et Clochette était de porter le bas des robes du maitre. Nous devions alors être nue car le maitre n’aimer pas que nous portions ces stupides ‘vêtements’, je comprends pourquoi depuis car c’est fout comme ces truc démange des endroits qu’on n’avait pas conscience de leur existence avent cela.  Comme je l’ai dit, le maitre était bon et gentille avec nous, comme avec ses autres esclaves bien que les autres ne le comprenait pas et tenter toujours de mettre le maitre en colère. Il arriver que le maitre punisse un esclave car il avait mal agit, mais c’était pour le faire devenir meilleur. Et quand un esclave ne se comporter vraiment pas bien, il arriver que le maitre décide qu’il ne pouvait plus rien pour lui et le tuer, mais dans le fond si les esclaves ne voulais pas se faire punir ou tuer, ils n’avaient qu’à pas désobéir au maitre. Avec les filles, nous étions plus sages, nous obéissions au maitre et le maitre pour nous récompenser nous apprenait des choses quand il n’avait pas besoin qu’on lui porte ses robes. Comme il était souvent occupé cela ne se passer pas souvent, mais il nous laisser étudier ce que nous pouvions en lui suivant. Et comme on le suivait partout où il allait, nous en avons appris des choses, mais surtout à quel point le monde de dehors de la protection du maitre est cruel. Haaaaaaaa…. La vie chez le maitre était si agréable, je regrette que cela se soit finit, d’ailleurs cela c’est passer de façon étrange.

Le jour le plus sombre de ma vie avait pourtant bien débuté, le maitre nous avait réveillés tôt car il avait un rendez-vous au grand marché. Comme la route est longue, nous avons passé le trajet a chantée et dansée pour que le maitre ne s’ennui pas. Bon, quoi que l’on fasse le maitre garder sa grande mélancolie dans le regard, mais je sais qu’il aime beaucoup quand on chante pour lui. Ce jour là il devait rencontrer un de ses rivaux en matière de commerce, une grande jambe du nom de Kromriche Poing-de-pierre, de petite taille avec une belle barbe bien soigner il parler une langue que personne ne comprend ou presque. Je me souviens qu’avant de rejoindre l’autre marchand, le maitre était allé payer des gens pour faire passer une dague dans la gorge de Kromriche, sur le coup je me suis demander ce que cela fait de se prendre une dague à cet endroit, mais quand je repense au gros lézard qui l’avait subit l’an dernier je doute que se soit agréable. En suite, il est allé voir d’autre gens pour leur offrir beaucoup pour éviter que Poing-de-pierre fasse la même chose que lui. Durant le trajet nous somme passer devant l’étale d’œil-mort et il semblerait que les affaires n’aille pas bien  pour lui, il devrait peut être diversifié les origines de ses esclave car les sylphélins sont certes mignon mais peut robuste, hors de nos jours où la vie est de plus en plus rude il faut des esclaves robuste, comme les cornus ou les peaux verte, enfin bref. Quand nous sommes arriver au rendez vous du maitre, le petit grande jambe semblait pas a son aise, sans doute sentait il ce que le maitre avait prévue. La discussion commença à s’envenimer, puis la dague passa a travers sa gorge et Kromriche Poing-de-pierre était mort sur la table. Maitre Firoll nous fit alors partir de cet endroit et nous rentrâmes à la maison. Le reste de la journée fut surtout occuper par la ronde habituelle du maitre dans son domaine et la correction des mauvais esclaves, rien de bien extraordinaire si ce n’est qu’il dut encore en tuer deux, ce qui veut dire qu’il a dut aller en acheter des nouveaux au grand marché. Et la nuit est arrivée et avec elle le repos de la guerrière. Sauf que voila qu’en pleine nuits des grandes jambes sont arrivée et nous on enlevée avec les copines et d’autres esclaves, ils disent qu’ils nous ont rendu notre ‘liberté’, moi je dis qu’ils nous ont enlevé à l’amour de notre maitre. Mais comme je sais que cela peut arriver, je ne me suis pas laisser démoralisée. Durant tout le trajet où nos ravisseur nous parler des ‘joie’ de leur liberté, je priée pour que le maitre aille bien et pour que mon nouveaux maitre soit gentil avec moi. C’est au petit matin que j’ai rencontrée pour la premier fois le seigneur Abraxel Gris-Doigts, un peau verte, il était grand et gentil, mais il me parler de chose bizarre que je comprend pas encore très bien aujourd’hui.

Dés mon arrivée au service du seigneur Gris-doigt, celui-ci me fit part qu’il ne voulait pas prendre la place de maitre Firoll mais me faire découvrir le sens véritable de sa liberté. Face a mon incompréhension, débutât avec le seigneur Gris-doigt un échange qui serra le meilleur résumer du temps passés a ses cotés, il me parler de sa liberté et moi je lui parlé de maitre Firoll, ironiquement je le sais maintenant le seigneur Gris-doigt ne comprenait pas plus mon amour de maitre Firoll que je ne comprends son amour de la liberté. En plus d’échanger sur nos amours respectif, le Seigneur Gris-doigt et moi avons beaucoup voyagé, notamment avec Nakaï Tlaztlan, un lézard assez bavard, Gorgash Entaille de fer, un fier combattant cornu, Hagan Stonehelm, un petite longue-jambe assez orgueilleux, Tylos, un maitre des bête elfiques, Niamal, un longue jambe voleur, Enarion, un elfe mage et Bellaruse, une femme-cailloux des plus sage.

Il faudrait que je vous parle plus avent de certaine de ces aventures d’ailleurs. La plus glorieuse et périlleuse fut la quête du bouclier d’Orichalque du Kaer maudit. C’est durant cette épopée que mon maitre vit un grand nombre de ces amis, mourir dans d’atroce souffrance. C’est aussi durant cette épopée que je fis la rencontre de ma douce amie qui peuple mes pensées. Suite a cette épopée, qui nous fit voyager a travers tout Barsaive, il faut savoir qu’il ne resta du groupe du seigneur Gris-doigt que le lézard, le cornu et la femme-pierre a nos coter. Le groupe du seigneur Gris-doigt vécurent d’autre aventures fort passionnante bien que moins marquante et ceux jusqu’à leur dernière aventure, une chasse du plus terrible et ancien rejeton d’Ego. Si le seigneur Gris-doigt et moi-même somme a ce jour toujours en vie ce n’est que grâce à la clémence d’Erendis. L’affrontement contre la chose causa la mort effroyable des compagnons du seigneur Gris-doigt et blessa gravement celui-ci, sa survie n’ayant été dut qu’au fait qu’il fut projeter dans une crevasse assez profonde et étroite pour l’avoir rendu inaccessible du monstre. Pour ma part la bête sembla ne pas avoir à faire de moi et c’est ainsi que je pus survivre.  Après cette dure bataille, nous partîmes en route vers V’strimon, son lieu de retraite pour guérir, mais sur la route sa vie se dérobât suite a ses blessure trop importante. Ma destinée aller changée, le dernier vœu du Seigneur Gris-doigt de me reconduire à maitre Firoll ayant était formuler à mon nouveau maitre de substitution, maitre Tarislar.
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